Né dans le 11ème arrondissement de Paris en 1973, Julien Bargeton se passionne très tôt pour la chose publique. Partisan de la « deuxième gauche » insufflée par Michel Rocard, il s’engage au Parti socialiste en mars 1993.
Élu en 2008 conseiller de Paris et premier adjoint à la Maire du XXe chargé des Finances et de la Culture, il devient en juillet 2012 adjoint au Maire de Paris Bertrand Delanoë chargé des Déplacements, des Transports et de l’Espace Public.
La montée du nationalisme et le renforcement des conservatismes liés au vote du Brexit et à l’élection de Donald Trump suscitent chez Julien Bargeton l’idée du nécessaire rassemblement entre les progressistes et de l’union entre les démocrates et les républicains, pour la défense des droits et libertés individuelles. Dans une tribune publiée en janvier 2017, il annonce son ralliement à Emmanuel Macron et quitte le Parti socialiste le 1er juin 2017.
Investi par La République En Marche aux élections sénatoriales de 2017 à Paris, il est élu sénateur de Paris le 24 septembre 2017. Élu par la suite porte-parole du groupe LaREM, il siège à la commission des finances et devient co-rapporteur spécial sur le budget de la Culture. À la suite de son élection au Sénat, il démissionne le 6 octobre 2017 de son poste d’adjoint au Finances, et crée dans la foulée le groupe « Démocrates et Progressistes » au Conseil de Paris, dont il devient président.
Né le 23 juin 1956, Bernard Buis a exercé la profession de gestionnaire d’un établissement public, plus précisément d’un collège. À la retraite depuis peu de temps, il se consacre à présent à temps plein à ses mandats de Sénateur et de Conseiller Départemental.
Élu pour la première fois en 1989, il devient adjoint au Maire de sa commune, LESCHES en DIOIS, une commune très rurale d’une cinquantaine d’habitants. Il en est élu Maire, en 1995.
En 2004 il devient conseiller général de la Drôme, du canton du Diois dont il est nommé rapporteur du budget de 2004 à 2008, puis Vice-Président en 2008. Il est réélu en 2011, puis en 2015, en siégeant cette fois dans le groupe de la minorité.
Après la nomination de Didier GUILLAUME, en tant que Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, il devient Sénateur en 2018.
Au Sénat, il s’inscrit directement dans la commission économique et s’implique fortement comme étant un défenseur de la ruralité et des services publics.
Connaissant son département par cœur, il veux faire entendre au Sénat la voix d’un élu de terrain et compte porter les dossiers de la ruralité pour montrer que les zones rurales sont une chance pour le développement et l’équilibre de notre pays.
Père d’un garçon, grand père de deux petits-enfants, c’est auprès des siens qu’il trouve à la fois la quiétude et l’énergie pour se battre auprès des élus et des citoyens.
Michel Dennemont est un homme politique réunionnais, infirmier de profession, maire de la ville des Avirons de 1987 à 2017, date à laquelle il a démissionné de son mandat pour devenir sénateur. Aujourd’hui, cet officier de l'ordre national du Mérite est maire honoraire de cette ville – ce dont il s’enorgueillit, puisqu’une des conditions d’obtention de cette distinction est d’avoir fait 3 mandats de maire successif et de posséder un casier judiciaire vierge, fait rare à La Réunion.
Homme de terrain, ce fils de cheminot a toujours revendiqué une politique de bon sens et pragmatique. Il ne s’est jamais encarté dans aucun grand parti. Il est entré au Sénat sans étiquette, sans chercher à rejoindre un groupe politique en particulier. Après avoir écouté ce que chaque groupe lui proposait, il a choisi La République en Marche qui lui a paru la plus attentive aux questions d’outre-mer.
Michel Dennemont a aussi été vice-président du conseil général de La Réunion, conseiller régional et a présidé le centre de gestion de La Réunion, ce qui lui a donné une connaissance concrète et approfondie des problématiques du territoire réunionnais.
Nicole Duranton est née le 13 octobre 1958, dans l’Eure. Anciennement chargée de la communication du préfet de l’Eure, elle devient en 2008 maire de Nagel-Séez-Mesnil.
Elle est élue conseillère régionale de Haute Normandie en 2010, mandat qu’elle occupe jusqu’en 2015.
En 2014 elle est élue conseillère municipale de la ville d’Evreux et devient alors vice-présidente du Grand Évreux Agglomération, chargée des mobilités durables et de l'accessibilité, fonction qu’elle occupe jusqu’en 2017.
Nicole Duranton devient sénatrice de l’Eure le 28 septembre 2014 où elle est actuellement membre de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées
Marie-Agnès Evrard
Sénatrice de l'Yonne
Née le 10 juin 1957, Marie-Agnès Evrard a exercé en entreprise en tant qu’employée administrative, fonction dont elle est actuellement retraitée.
Elle est élue adjointe au maire de Migennes dans l’Yonne, puis conseillère départementale du canton en 2015 dans une liste d’union de la droite.
Elle devient sénatrice le 2 novembre 2020, en remplacement de Jean-Baptiste Lemoyne, nommé au Gouvernement. Elle rejoint alors le groupe de La République En Marche (RDPI) et siège au sein de la Commission des affaires économiques.
Né le 24 juin 1960 à Bourgoin-Jallieu, il est diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et docteur en Sciences de l’information et de la communication . Il a également obtenu un DEA en histoire sociale à l’École des hautes études en sciences sociales et d’un DESS d’études de marché et d’opinion (IEP de Paris).
Professionnel des études et de la communication, il a été coordinateur technique de l’Eurobaromètre pour Gallup, directeur des études politiques de l’institut CSA, puis directeur général adjoint d’Ipsos Médias. Maître de conférences pendant douze ans à Sciences Po Paris, puis en journalisme scientifique à l’université Diderot - Paris 7, il a ensuite co-dirigé le Master professionnel de journalisme culturel de l’université Paris 3 où il continue d’enseigner l’histoire des politiques culturelles.
Vice-président de la Commission des finances du Sénat, de 2014 à 2017, il a été réélu en septembre 2017, et a par la suite adhéré au groupe La République en Marche. Il est aujourd’hui vice-président de la Commission des affaires européennes, membre de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication ainsi que de la Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l’évaluation interne.
Abdallah Hassani, sénateur de Mayotte, a rejoint le groupe En Marche dès son élection en octobre 2017. Conseiller municipal de Mamoudzou dont il a été le maire de 2001 à 2008, enseignant à la retraite, membre de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication, ses priorités vont au développement de l’île de Mayotte qui a pour préalable l’émancipation des jeunes constituant plus de la moitié de la population : amélioration des conditions d’étude et de logement, de la qualité des transports au sein de l’île et dans le cadre de la continuité territoriale. Délégué au Syndicat Intercommunal d’Eau et d’Assainissement de Mayotte, il a pour autre centre d’intérêt l’eau et l’assainissement qui sont l’un des grands défis du territoire d’ici 2025. Responsable de ligues de sport durant plusieurs années, il milite aussi pour l’investissement dans la mise aux normes des structures sportives, en général et particulièrement à Mayotte.
Née le 30 décembre 1975, Nadège Havet travaille comme responsable d’équipes à Pôle Emploi et se passionne très vite pour l’intérêt collectif. C’est ce qui la pousse en 2008 à se présenter aux élections municipales de sa commune : Saint-Pabu, où elle devient depuis lors adjointe au maire.
En 2014, elle est nommée vice-présidente de la communauté de communes du Pays des Abers, fonction qu’elle occupe toujours.
En 2017, elle est suppléante du candidat La République en Marche Didier Le Gac, alors élu député.
Nadège Havet est une femme pragmatique, qui a une expérience d’élue locale, de terrain, et de cadre professionnelle. C’est fort de cet engagement de longue date qu’elle se présente en 2020 aux élections sénatoriales.
Elle y est élue le 27 septembre 2020 et rejoint alors la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable. Elle est également vice-présidente de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes.
Né le 8 janvier 1975, Ludovic Haye est ingénieur en cyber-sécurité de profession.
Egalement Lieutenant-Colonel dans la Réserve Citoyenne de la Région de Gendarmerie d’Alsace, il intervient régulièrement dans les entreprises, les collèges et les lycées afin de promouvoir les nouvelles technologies tout en alertant sur leur utilisation à bon escient (e-dépendance, e-réputation etc.).
Il est par ailleurs un intervenant régulier du Forum du Rhin Supérieur sur la Cybersécurité (FRC) à l'ENA du Strasbourg.
En 2008, il intègre la liste Rixheim Vivre Ensemble (RVE) menée par Olivier BECHT et devient Conseiller Municipal Délégué aux Nouvelles Technologies en 2010.
En 2017, suite à la démission d’Olivier BECHT (ce dernier ayant été élu député de la 5ème circonscription), Ludovic HAYE est élu maire de RIXHEIM le 23 septembre 2017.
Profondément animé par l’intérêt général, et le bien commun, il est réélu et reconduit à l'unanimité dans ses fonctions par son Conseil Municipal le 15 mars 2020.
Le 27 septembre 2020, lors de sa première participation aux élections sénatoriales, il est élu Sénateur du Haut-Rhin. Il intègre dès son arrivée la Commission des Affaires Etrangères, de la Défense et des Forces Armées ainsi que la Commission des Affaires Européennes.
Très attaché à la présence d'instances Européennes à Strasbourg, il représente le Sénat au Conseil de l'Europe.
Né à Suresnes le 31 mars 1981, il est le fils aîné d’une fratrie franco-italienne de quatre enfants. Titulaire d’un bac et d’un BTS à l’école hôtelière de Paris-Jean Drouant, il a créé sa première société d’organisation de réceptions à 21 ans.
Parallèlement à son activité professionnelle, il obtient une Licence en management du sport et un diplôme d’études supérieures universitaires en droit et gestion des collectivités territoriales. De 2016 jusqu’à son élection au Sénat, il est en charge des commerces et du développement économique d’une commune de première couronne parisienne.
Conseiller municipal de Suresnes depuis 2008, son engagement politique fut avant tout local. Élu sénateur en 2017, il est membre de la commission des affaires économiques et travaille particulièrement sur les questions relatives au logement, aux commerces et à la revitalisation de nos centres-villes.
En janvier 2019, il crée au Sénat, le groupe informel et transpartisan sur l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Il est également auteur d’une proposition de loi relative à la protection de l’enfance, qui vise à moderniser notre système afin de garantir une protection et des perspectives d’avenir à tous les enfants placés à l’aide sociale.
En mars 2020, il rejoint la commission des affaires sociales du Sénat et devient chef de file du groupe LaREM pour l'enfance et le handicap
Né le 17 juin 1963, Mikaele Kulimoetoke est un ancien gendarme de profession. Il fait ses premiers pas dans la politique en 2012 pour porter la voix des citoyens wallisiens et agir pour le pouvoir d’achat et le désenclavement du territoire.
Il se présente lors des élections législatives de 2012 mais échoue face à Napole Polutele .
En 2014 il est élu président de l'Assemblée territoriale des îles Wallis et Futuna et devient le 1er élu politique de la collectivité à demander au Président une révision du statut de l'île par un transfert de l'exécutif aux membres élus du territoire.
Candidat aux élections sénatoriales de 2020, il l’emporte au second tour face au centriste Robert Laufoaulu, sénateur depuis 1988.
Il rejoint alors la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale du Senat.
Né le 30 octobre 1962, Martin Lévrier aura tout au long de sa carrière eut une fibre pour le social.
À la suite de ses études il prend la direction de la Fondation Saint-Joseph, un lieu destiné à l’accueil des personnes âgées à faibles ressources financières.
En 1989, il devient secrétaire général de Notre-Dame-du-Grandchamp, lycée d’enseignement général, technologique et professionnel à Versailles. Pendant ces années au sein de l’établissement, Martin Lévrier a mené à bien plusieurs projets favorisant l’éducation et l’insertion des jeunes en échec.
En 2008, Martin Lévrier est élu au conseil municipal de Versailles, dans l’équipe de François de Mazières, où il s’occupe principalement de la problématique des sans-abris.
Il a aussi été vice-président de Versailles habitat, établissement public à vocation industrielle et commerciale dont la mission est de répondre aux grandes problématiques du logement.
Nommé en tête de liste de La République en marche pour les sénatoriales, en juillet 2017, et élu le 24 septembre 2017, Martin Lévrier est aujourd’hui le premier sénateur de La République en marche des Yvelines.
Au Sénat, il continue à être engagé dans le domaine social, notamment en qualité de membre de la commission des Affaires sociales, sous la présidence d'Alain Milon.
Frédéric Marchand est juriste de formation. Titulaire d’une maîtrise de droit public, il devient assistant parlementaire et occupe, par la suite, divers postes dans les collectivités territoriales.
Investi très tôt dans la vie politique, il devient adjoint au Maire de la ville d’Hellemmes en 1995 et conseiller municipal dans l'équipe dirigée par Pierre Mauroy. Il devient premier adjoint au Maire d'Hellemmes en mars 2001 et adjoint au Maire de Lille, Martine Aubry.
Réélu en 2008, il devient Maire d'Hellemmes en septembre 2012. Il est élu conseiller général du Nord en mars 2011 et réélu conseiller départemental en mars 2015.
En décembre 2016, il adhère à « En marche ! » et soutient officiellement Emmanuel Macron, candidat à l’élection présidentielle et le reçoit à Hellemmes le 14 janvier 2017.
Le 24 septembre, il est élu Sénateur du Nord, tête de liste de la majorité présidentielle sur la liste « Le Nord en marche ! ».
Pour se mettre en conformité avec la loi sur le non-cumul, il démissionne du Conseil départemental et de son poste de Maire d'Hellemmes, ne gardant que ses mandats de conseiller communal et municipal de Lille et siégeant à la métropole européenne de Lille.
Au Sénat, il est Vice-président de la commission « Aménagement du territoire et développement durable » et se spécialise sur les questions de mobilités et d’économie circulaire.
Père de deux enfants, il est amateur de voyages, de bande dessinée, de littérature et de musique.
Marié et père de trois enfants, Thani Mohamed-Soilihi est né le 20 juin 1972 à Sada (Mayotte).
Diplômé de l’Ecole du Centre Ouest des Avocats de Poitiers, il exerce la profession d’avocat au barreau de Mayotte depuis 1999, où il occupe les fonctions de bâtonnier de 2007 à 2010.
Conseiller municipal d'opposition de Sada de 2001 à 2008, il est élu, le 25 septembre 2011, Sénateur de Mayotte sous l'étiquette divers gauche et rejoint rapidement le groupe socialiste.
En juin 2017, Thani Mohamed-Soilihi décide de faire partie, dès sa création, du groupe La République En Marche du Sénat.
C’est investi par ce parti qu’il se représente et remporte les élections sénatoriales en octobre 2017. Premier sénateur Mahorais et premier parlementaire ultramarin à occuper ce poste depuis Gaston Monnerville cinquante ans auparavant, il entend apporter plus de visibilité à ces territoires éloignés.
Depuis son entrée au Sénat en 2011, il siège au sein de la commission des lois, où il suit tout particulièrement les questions relatives à la Justice, l’Outre-mer, les droits de l’Homme, la Décentralisation, mais s’intéresse également aux problématiques éducatives, sanitaires et économiques, notamment sociales et solidaires.
Parallèlement, et dans le cadre de son engagement associatif, Thani Mohamed-Soilihi a co-créé l'association de lutte contre l’exclusion des jeunes, TAMA (« Espoir » en shimaoré), qu’il a présidé de 2003 à 2017, devenue depuis M'lézi Maoré.
Né le 1er avril 1949 à Cayenne, Georges PATIENT est issu d’une vieille famille guyanaise et il y passe la plus grande partie de son enfance.
Après le lycée à Cayenne, il complète sa formation par un diplôme du CESB (Centre d’Etudes Supérieures de Banque.) De retour en Guyane, il entame une carrière dans la Banque. Il occupe différents postes dans plusieurs établissements puis s’installe en 1994 en indépendant et travaille comme consultant financier.
En 1983 il décide de se lancer dans l’arène politique et se présente aux élections municipales à Mana. Il y est élu maire en 1989 et réélu aux 4 élections municipales suivantes.
Mu par la nécessité de solidarité et de mutualisation entre les communes, il est à l’origine, avec 3 de ses collègues maires, de la création de la première communauté de communes de Guyane le 1er janvier 1995, la communauté de communes de l’ouest guyanais (CCOG).
Conscient que les racines du mal guyanais sont profondes, Georges Patient sait que les leviers d’action se trouvent en Guyane mais également à Paris au niveau national. C’est pourquoi il se présente et est élu au Sénat le 21 septembre 2008. Il est réélu le 28 septembre 2014 dès le premier tour.
Apparenté au groupe socialiste, il siège d’abord au sein de la commission des affaires économiques puis de la commission des finances dont il est aujourd’hui vice-président. Après l’élection d’Emmanuel Macron à la Présidence de la République, il rejoint le groupe En Marche du Sénat, espérant que la volonté réformatrice du Président s’applique également aux relations entre Paris et les collectivités d’Outre-mer.
François Patriat, né le 21 mars 1943 à Semur-en-Auxois. Vétérinaire de formation, sorti de l'École nationale vétérinaire d'Alfort en 1968, major de promotion, il a notamment exercé à Pouilly-en-Auxois.
Membre du Parti socialiste à partir de 1974, il est élu conseiller général de la Côte-d'Or en 1976, mandat qu'il conserve jusqu'en 2008. Il est nommé Président de la Communauté de communes de l'Auxois Sud de 1992 en 2004.
Il est également élu député de la 5ème circonscription de Cote d’Or de 1981 à 1993 puis de 1997 à 2000. Il fut maire de Chailly-sur-Armançon de 1989 à 2001
Le 2 avril 2004, il est élu président du conseil régional de Bourgogne. Réélu le 26 mars 2011, il cède sa place à Marie-Guite Dufay après la création de la région Bourgogne-Franche-Comté, en 2015.
Sous le gouvernement Lionel Jospin, il est successivement secrétaire d'État chargé des PME, du Commerce et de l’Artisanat, et ministre de l'Agriculture et de la Pêche.
À partir de 2016, il est l'un des principaux soutiens d'En marche !, lancé par Emmanuel Macron. Lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2017, il lui donne son parrainage. Il est alors menacé d'exclusion du PS. Il annonce donc se mettre « en marge du PS » et « en marche pour Emmanuel Macron ».
Sénateur depuis 2008, Il préside le groupe La République en marche (puis RDPI) au Sénat depuis sa création, en 2017. Il y est membre de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication.
Née le 28 juin 1957, Marie-Laure Phinéra-Horth est la fille de Stéphan Phinéra-Horth, président du conseil général de la Guyane de 1994 à 1998. Elle est orthophoniste de formation diplômée de l’université Pierre et Marie Curie.
Membre du Parti socialiste guyanais (PSG), dont elle est trésorière de 1994 à 1996, elle est élue conseillère municipale de Cayenne en 1995, réélue en 2001 et 2008. Elle est sixième adjointe au maire Jean-Claude Lafontaine de 1995 à 2008, puis première adjointe de son successeur Rodolphe Alexandre. Quand ce dernier accède à la présidence du conseil régional, elle est élue pour lui succéder comme maire le 8 avril 2010.
Le 20 mai 2016, elle fonde Nouvelle force de Guyane (NFG), parti actif principalement sur Cayenne.
À la tête d'une liste d'union NFG-Walwari-PSG, elle remporte de nouveau les élections municipales de 2020 avec 60,46 % des voix.
Elle devient la première femme sénatrice de Guyane le 27 septembre 2020. Elle y siège en tant que membre de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable.
Né à Grenoble, l’Isère est le département où Didier Rambaud grandit et effectue ses débuts dans la vie publique comme assistant parlementaire dès 1988 avec Didier Migaud, actuel Président de la cour des comptes.
Son parcours a été jalonné de différents mandats électoraux depuis 1998. son premier mandat fut comme conseiller départemental. Puis, en tant que maire et président de la communauté de communes de Bièvre Est, il a pu affirmer, au fil de ses rencontres, du travail de proximité et ses prises de position, les fondements de son engagement politique.
Il s’investit pleinement dès avril 2016 auprès d’ Emmanuel Macron car il constate la nécessité de dépasser les clivages politiques pour transformer notre société.
Aujourd’hui, son implication est au quotidien sur son département en tant que sénateur. Cet engagement a comme exigence la mise en œuvre d’un pacte de confiance entre l’Etat et les collectivités territoriales. Il est convaincu que cela ne peut se faire que dans le respect de chacun, au service de tous, avec l’ensemble des acteurs de nos territoires. Au Sénat, il est Vice-Président de la commission des finances et membre de la délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation.
Né le 29 août 1945, Alain Richard est ancien ministre de la Défense, sénateur du Val d’Oise et président du Conseil d’administration de l’IRIS. Après ses études de droit, lettres et sciences politiques, et sa formation à l’ENA, il entre au Conseil d’État où il sert de 1971 à 1978. Parallèlement, il enseigne aux Universités de Reims, de Paris I et à l’Institut d’études politiques.
Militant socialiste depuis sa jeunesse, il est élu maire de Saint-Ouen l’Aumône en mars 1977, fonction qu’il a exercée jusqu’en 2017. Élu député du Val d’Oise en 1978 et réélu jusqu’en 1993, président du Syndicat de l’Agglomération Nouvelle de Cergy-Pontoise de 1989 à 1997, il devient sénateur du Val d’Oise et secrétaire de la Commission des Finances du Sénat de septembre 1995 à juin 1997.
Ministre de la Défense de juin 1997 à mai 2002, il conduit la restructuration complète des forces armées issue de la professionnalisation, contribue à la réorganisation des industries de défense (EADS, Thales, DCN, etc.), et pose à partir de 1998 les premières étapes de l’Europe de la Défense.
Réélu au Sénat en 2011, il y est engagé dans les débats de réforme administrative et territoriale, de sécurité, de stratégie européenne.
Il est depuis septembre 2013 représentant spécial pour la diplomatie économique auprès des huit pays des Balkans occidentaux et Vice-Président de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale.
En 2017, il a rejoint le nouveau mouvement politique « En Marche », soutenant l’action du Président Emmanuel Macron.
Né le 3 février 1975, Teva Rohfritsch obtient après son Bac, une maîtrise en management puis un DESS en Aménagement du territoire et développement économique local. Il commence sa carrière dans le privé en tant que chargé d'études dans une société de gestion d'autoroutes puis en Polynésie dans la banque SOCREDO où il termine comme directeur général adjoint de l'Océanienne de services bancaires.
En novembre 2003, il est appelé par Gaston Flosse (Président de la Polynésie Française) pour devenir ministre du Tourisme et de la Promotion des exportations, mandat qui se termine en avril 2004. Il redevient ministre en octobre 2004, jusqu'en février 2005, à l'Économie et au Tourisme.
Le 27 mai 2015, il devient ministre de la Relance économique, de l'Économie bleue, de la Politique numérique, chargé de la Promotion des investissements à la faveur d'un remaniement ministériel sous la présidence d'Edouard Fritch.
En 2016, il rejoint le Tapura Huiraatira (parti politique polynésien), dont il devient le premier vice-président.
Il est nommé vice-président de la Polynésie française en 2017, mandat qu’il conserve jusqu’à son entrée au Sénat en septembre 2020.
Il y siège en tant que membre de la commission des finances.
Née le 18 janvier 1963 , Patricia Schillinger est aide soignante de profession. Ayant exercé plusieurs années son métier en Suisse, elle est particulièrement impliquée sur les problématiques liées aux professions de la santé, au travail transfrontalier ainsi qu'aux enjeux liés au droit local (régime juridique particulier créé au lendemain de la première guerre mondiale et qui concerne les départements français du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle).
Élue Sénatrice du Haut-Rhin depuis 2004, Patricia Schillinger s’est aussi engagée localement en tant que Conseillère municipale (adjointe au Maire) puis fut élue Maire de la commune d’Hégenheim de 2008 à 2014 et Vice-Présidente de la Communauté de Communes des Trois Frontières.
Membre du bureau et secrétaire du Sénat, Patricia Schillinger fut réélue en 2014 pour un deuxième mandat parlementaire.
Elle est aussi membre depuis 2014 de la Délégation aux collectivités et à la décentralisation, au sein de laquelle elle participe entre autres aux travaux sur la revitalisation des centres-villes et centres-bourgs et sur le statut d’élu local.
Patricia Schillinger fait partie des premiers parlementaires à avoir soutenu Emmanuel Macron pour la campagne présidentielle de 2017. Elle a également participé à la création du groupe La République en Marche au Sénat dès juin 2017 et en est aujourd’hui Secrétaire et membre de la commission des affaires économiques.
Né le 4 aout 1960, Dominique Théophile a effectué sa scolarité aux Abymes en Guadeloupe.
Il est élu conseiller municipal à la mairie des Abymes en 1995. Ancien sportif – il est champion de Guadeloupe du 1200 minimes, participe aux Jeux de Guadeloupe de 1974, et gardien de but du club de football SIROCO en 1982 –, il est nommé adjoint au maire des Abymes de 1995 à 1997 en charge du sport.
Il est également vice-président du conseil général en charge du Sport de 2001 à 2015. Il est élu conseiller régional et président de la commission Sport et Santé en décembre 2015.
Dominique Théophile s’intéresse tout particulièrement aux problématiques d’organisation du système de santé dans les outre-mer. Il est président de la Fédération Hospitalière de Guadeloupe de 2002 à 2015 et administrateur au CHU de Pointe-à-Pitre.
En septembre 2017, il devient sénateur de la Guadeloupe, membre de la commission des affaires économiques et vice-président de la délégation aux outre-mer. Il est aujourd’hui membre de la commission des affaires sociales.
Au Sénat, son action a notamment permis de faciliter la venue de médecins cubains en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane pour lutter contre les déserts médicaux. Il a également oeuvré à la création d’une faculté de médecine de plein exercice aux Antilles
En juillet 2018, Dominique Théophile a été chargé par le Premier ministre d'une mission temporaire consacrée à la lutte contre les sargasses dans la Caraïbe. Plusieurs des ses recommandations ont été mises en oeuvre, dont l’organisation d’une conférence internationale en octobre 2019 et la mise en place d’un observatoire caribéen.
Né le 22 septembre 1947, Richard Yung a passé sa petite enfance à Amboise, mais une jeunesse loin d’Europe, au Sénégal, au Gabon, en Mauritanie, au Cameroun au gré des mutations de son père, ingénieur géomètre-topographe des colonies.
Le retour à Paris pour faire ses études (Sciences po et sciences éco) le plonge immédiatement dans le bain politique puisque c’est la Révolution tchèque puis mai 68 auquel il participe activement. Il milite au Mouvement fédéraliste européen et au PSU avec Michel Rocard.
En 1973, il rentre comme économiste à la direction du CNRS où il s’occupe de la modernisation des budgets et de la gestion des laboratoires. En 1974 il rejoint le PS dans la mouvance des Assises du socialisme et participe au courant Rocard qu’il représente à la direction de la fédération de Paris
En 1978 il devient responsable de l’INPI (organisme chargé des brevets et des marques en France) et est désigné comme candidat en 1981 à la députation dans le 14ème arrondissement avant de finalement laisser sa place.
En 1990, il émigre avec sa famille vers Munich où il est chargé des affaires internationales de l’OEB. Il est élu premier secrétaire de la Fédération des Français de l’étranger du PS (jusqu’en 2003), membre du Conseil national et délégué désigné au CSFE (en 1990). C’est en 2004 qu’il rentre au Sénat.
Il rejoint En Marche et Emmanuel Macron en octobre 2016, convaincu que lui seul peut gagner l’élection présidentielle et résoudre les problèmes qui ne l’ont pas été ces 30 dernières années.
Au Sénat, il siège en tant que Membre de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées ainsi que la commission des affaires européennes.