Sécurité : notre combat pour la liberté, l’égalité et la fraternité

14 septembre 2021 - La sécurité est un combat social. C'est un combat pour l’égalité et les mêmes chances pour tous. CE combat, notre majorité le mène de front depuis 2017. La preuve.



Le 8 décembre, le Président de la République avait lancé le Beauvau de la sécurité, grande concertation autour des questions de sécurité. 10 mois plus tard, le 14 septembre, Emmanuel Macron a annoncé de nouvelles actions en faveur de nos forces de l'ordre et de la sécurité en France :
Pour 2022, le Ministère de l'Intérieur verra son budget augmenter : 1,5 milliard d'euros, dont 500 millions seuls pour les nouvelles annonces du Beauvau.
Une loi programmation pour les sécurités intérieures (LOPSI) pour penser la police et gendarmerie de 2030 (former, équiper, penser) sera présentée en conseil des Ministres début 2022. Elle sera un choc numérique du Ministère de l'Intérieur.
+ de bleus sur le terrain : objectif de doublement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique sous 10 ans
Meilleure prise en charge des victimes de violences conjugales : La plainte en ligne sera disponible dès 2023, un suivi avec des référents au sein forces de l'ordre et des applications numériques sera disponible.
Renforcement du déploiement des caméras piétons : 1 par patrouille (15 000 restes à déployer d'ici à octobre avec caméra adaptée aux besoins) puis chaque fonctionnaire sur le terrain aura une caméra individuelle en 2022. Des caméras embarquées pour les véhicules seront en place dès 2023.
Une nouvelle réserve opérationnelle de la police sera créée (30 000 policiers) et la réserve pour la gendarmerie existante sera renforcée (+20 000 gendarmes).


La sécurité est une priorité, depuis 2017. Retour sur 5 ans d'action pour nous protéger et protéger ceux qui nous protégent.



Parce qu’aucun quartier n’est en dehors de la République, nous redoublons nos efforts là où le temps a laissé les difficultés économiques et sociales s’installer, où la violence a pris ses racines. Nous travaillons sans relâche pour défendre la République tout en lui faisant respecter ses promesses d’égalité et d’émancipation. Nous croyons dans ce que peut apporter la culture, le sport, et l’éducation. Nous agissons aux côtés des habitants, des élus, des policiers municipaux qui oeuvrent dans la fraternité pour la sécurité de tous. Ce ne sont pas moins de 58 quartiers de reconquête républicaine que nous avons mis en place, comme la Goutte d'Or à Paris, Lille-Sud, ou encore la Mosson à Montpellier. Dans ces quartiers, les renforts en effectifs de police permettent au quotidien de gagner du terrain sur la délinquance et de changer la vie des habitants.


Comment agissons-nous contre la criminalité tout en renforçant et en protégeant nos forces de l’ordre ?

Pour qu’ils soient mieux équipés, et que leur sécurité soit mieux assurée, notre méthode est celle d’une police et d’une gendarmerie plus présente sur le terrain, disposant de davantage de moyens :
Hausse du budget des forces de sécurité de 1,7 milliard d'euros ;
Renouvellement de 50% du parc automobile de la police d'ici la fin du quinquennat ;
Création d’une réserve de 30 000 effectifs pour la police et augmentation de 30 000 à 50 000 de celle de la gendarmerie ;
Renforcement du partage de l’information entre polices et mutualisation des moyens avec la loi Sécurité globale
Renforcement de la protection de nos FDO : sanctions plus fortes, fin des réductions de peine automatiques pour ceux qui les agressent, généralisation des caméras piétons d’ici l’an prochain

Pour déployer davantage de forces et mieux agir sur le terrain, nous tiendrons nos objectifs :
de 15 000 places supplémentaires dans les prisons (7000 places ont déjà été ouvertes)
de 10 000 recrutements au sein des FDO (6 214 membres des forces de l’ordre ont déjà été recrutées, et nous en compterons dès cette année 2 000 de plus)



Les résultats sont déjà là. Depuis 2017, les cambriolages ont baissé d'un quart soit 46 300 habitations cambriolées en moins, et les vols de véhicules ont baissé de 20%, soit 28 000 victimes en moins.

Le budget consacré à la sécurité. Source : Palais de l'Élysée

Depuis le début du quinquennat, la lutte contre le terrorisme a été menée sans relâche. Nous avons musclé le renseignement territorial, tant sur le plan technologique que sur le plan humain, mais aussi fait monter en puissance la Direction générale de la sécurité intérieure et créé le renseignement pénitentiaire. Nous avons par une loi fondatrice permis de sortir de l’état d’urgence tout en durcissant l’arsenal législatif et bâti un nouveau parquet national antiterroriste. Les services ont ainsi déjoué 36 attentats. Nous ne pouvons que saluer la mobilisation de tous ces héros qui agissent le plus souvent dans l'ombre pour nous protéger.


Nous ne laissons aucun répit aux trafiquants de drogue, qui amènent avec eux l'insécurité et irriguent souvent certains réseaux séparatistes. Le trafic de drogue est la matrice de la violence ; pour ce faire, nous agissons à tous les niveaux :
Création d’un Office anti-stupéfiants
Réalisation de plus de 1000 opérations « coup de poing » sur les 4000 points de deal répertoriés récemment. Chaque jour, un point de deal est fermé et ce sont des quartiers qui reprennent vie.
Écriture de 70 000 amendes forfaitaires délictuelles pour les consommateurs depuis septembre dernier ;
37% de saisie de cannabis, 91% de saisies de cocaïne et 60% de saisies d’héroïne en plus par rapport en 2020.
7837 trafics démantelés (en hausse de 34%) et 52 millions d’euros d’avoirs criminels saisis.
Organisation d’un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères. Parce que la France est devenu un pays de consommation, le tabou doit être brisé.
En agissant à tous les niveaux: le grand trafic, le petit deal, la consommation… c’est un coup profond qui est en train d’être porté aux trafics.


La lutte contre le séparatisme constitue un autre enjeu en matière de sécurité. Jusqu’ici, les armes juridiques dont nous disposions étaient fragiles : il fallait par exemple se fonder sur des motifs sanitaires pour fermer une école illégale. Avec la création du délit de séparatisme, on donne à l’État les moyens de faire. 89 lieux de culte musulmans soupçonnés de séparatisme, répartis sur 33 départements, font l’objet d’un suivi particulier à ce jour.


Enfin, les moyens ont également été déployés pour mieux lutter contre les violences faites aux femmes :
2 300 téléphones “grave danger” pour les victimes déployés ;
90 000 policiers et gendarmes formés ;
3919  accessible 24h sur 24, 7j sur 7 ;
123 postes d’intervenants sociaux supplémentaires créés.




Loin des polémiques politiciennes de ceux qui préfèrent commenter que travailler à trouver des solutions, nous agissons.
Certains trouvent maintenant les idées qu’ils n’ont pas eu lorsqu’ils étaient aux responsabilités ; d’autres oublient qu’ils ont eux-mêmes réduit les ressources et effectifs qu’ils réclament aujourd’hui en boucle sur les plateaux de télévision ; les derniers enfin n’ont pour seule contribution au débat que de dire que ce n’est pas assez là où les efforts déployés sont sans équivalent.
Ce combat est essentiel. C’est un combat pour la liberté, dont la condition première est la sécurité. Parce que chacune et chacun a le droit de vivre en sécurité dans notre République.


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